La semaine de l’étudiant de l’Institut Africain des Etudes Commerciales (IAEC) a offert des spectacles en couleur à ses étudiants. Cette année, l’IAEC a innové avec des belles activités culturelles pour booster le monde estudiantin togolais.
La semaine de l’étudiant africain a démarré le 24 avril et a pris fin le 30 avril 2023. Si a priori, ledit évenement est consacré habituellement aux activités de réjouissances populaires, l’institut a tenu à concilier encore une fois, des activités de développement d’aptitudes intellectuelles et celles de divertissement.
Durant six (06) jours, il a été organisé des conférences portant sur les thèmes suivants : « Santé sexuelle de l’étudiant africain » et « la sensibilisation sur le cancer du sein à l’école ».
Ces rencontres d’échanges ont permis d’édifier les étudiants sur l’importance de la santé sexuelle et l’urgence de traitement du cancer de sein. Divers conseils ont été prodigués à l’endroit des apprenants. Une interaction appréciée par ces derniers.
Hormis ces cadres d’échanges, les étudiants ont eu droit à la détente et au plaisir de la vie avec des programmes comme : Color day, caravane, ouverture des stands, organisation d’un mini-concert, présentation des danses traditionnelles et une sortie sur la ville de Kpalimé.
Tous ces programmes de divertissement ont permis de développer davantage de la cohésion entre les étudiants.
Il faut, par ailleurs, noter que, cette semaine de l’étudiant a suscité de l’engouement au-delà de l’IAEC. Des étudiants et élèves des établissements publics et privés ont participé activement à ladite semaine. C’est dans une euphorie généralisée que les activités ont pris fin.
Pour montrer toute leur satisfaction, l’un des représentants du collectif des étudiants a souligné en ces termes : « Nous sommes en général satisfaits du contenu des programmes qui ont meublé la semaine de l’étudiant de cette année. Tous les acteurs ont trouvé leur compte. Nous avons entièrement confiance à notre institut pour revivre des moments intenses et constructifs que nous venons de vivre ».
La rédaction
