Sextape : Ce directeur a couché avec près de 400 femmes dont l’épouse du chef de la sécurité présidentielle (les vidéos)

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C’est une affaire qui fait grand bruit en Guinée Équatoriale actuellement. Le directeur général de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF), Baltasar Ebang Engonga, surnommé « Bello », a couché avec près de 400 femmes dont l’épouse du chef de la sécurité présidentielle. Les vidéos de ces ébats sexuels font le chou gras des réseaux sociaux depuis quelques jours.

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LES FAITS

Selon certains médias locaux, le fils de Balthasar Engonga Edjo, président de la Commission de la CEMAC (Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale) est sur le feu de projecteur.

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Actuellement, un énorme scandale secoue la Guinée Équatoriale autour de Baltasar Ebang Engonga, dont près de 400 vidéos compromettantes ont été diffusées. Ces vidéos montrent des femmes de divers milieux, incluant des Camerounaises, Ivoiriennes, des épouses de personnalités influentes et des citoyens lambda, des femmes enceintes, des subalternes au travail, des femmes claires et noires, des métisses et des jeunes filles.

Selon les informations, ces vidéos sexuelles ont été filmées à différents endroits (bureau, plage, cuisine, toilette, garage, hôtels etc…) par Balthasar lui-même avec le consentement de ces femmes dont l’épouse du chef de la sécurité présidentielle de Guinée Équatoriale, José Edu Moto.

En effet, le 10 avril 2024, le sulfureux homme d’affaires et propriétaire d’une dizaine d’entreprises, Balthasar Ebang Engonga, a été arrêté et condamné à une peine carcérale pour avoir détourné plus d’un milliard de francs CFA à la Banque Centrale de Guinée Équatoriale (BANGE BANK). Lors de l’arrestation, ces appareils et outils informatiques ont été saisis.

L’épouse du chef de la sécurité présidentielle de Guinée Équatoriale

Selon certaines indiscrétions, la fuite de ses vidéos provient des services de sécurité qui ont ses téléphones en leur possession. La question qui mérite d’être posée est de savoir si c’est le procureur qui a donné l’ordre aux agents de sécurité de fouiller dans les affaires personnelles de Balthasar…

Visualisez les vidéos à travers ce lien : https://t.me/+3ABmV-nRwa5hMDM0

Faut-il préciser que certaines familles auraient versé d’importantes sommes pour éviter que ces vidéos ne soient rendues publiques, créant une atmosphère de panique parmi les proches et amis des personnes impliquées. Même des figures influentes et des responsables de sécurité du pays s’inquiètent, craignant pour leur réputation et celle de leurs proches.

Vive indignation

Cette situation a provoqué une vive indignation dans la société équato-guinéenne, où de nombreux citoyens appellent à des sanctions sévères, non seulement contre lui, mais aussi contre toutes les personnes impliquées dans cette affaire.

Baltasar Ebang Engonga

Face à cette réaction de la population, le Procureur Général Anatolio Nzang Nguema, a rapidement réagi en lançant une enquête pour déterminer si Balthasar est porteur d’une maladie sexuellement transmissible.

« Les autorités souhaitent ainsi établir si l’homme aurait délibérément utilisé ces relations pour propager une éventuelle maladie dans la population. Si cela venait à être prouvé, il pourrait faire face à des poursuites pour atteinte à la santé publique, un délit puni par la loi équato-guinéenne », peut-on lire dans le communiqué du procureur.

Dans la foulée, le procureur a rappelé que la loi n’interdit pas les relations sexuelles consenties, mais pourrait sanctionner sévèrement toute personne ayant sciemment propagé une maladie infectieuse. « La population est en danger, car derrière chaque femme impliquée, il y a potentiellement des conjoints et d’autres personnes exposées indirectement », a souligné le procureur.

Rappelons que les investigations visent à vérifier les éléments de preuve afin de déterminer si des charges peuvent être retenues contre le fils de Balthasar Engonga Edjo, président de la Commission de la CEMAC. Ce dernier pourrait être sanctionné si les conclusions de l’enquête montrent qu’il a enfreint les règles de santé publique.

Marc Le Sucré

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